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Un chemin de déporté. Des ténèbres à la lumière
Témoigner de l’indicible. Quand la guerre éclate, Maurice de La Pintière, étudiant aux Beaux-Arts à Paris, peint en sous-main des gouaches qui constituent une chronique particulièrement mordante de l’actualité politique. Entré en Résistance, il est arrêté le 23 juin 1943. Déporté sur Buchenwald, il connaît également Bergen-Belsen. Mais c’est de l’horreur de Dora que témoignent ses lavis, réalisés juste à sa sortie des camps.
Après avoir côtoyé le Mal absolu, peut-on encore espérer ? Faisant de la tapisserie son moyen d’expression privilégié, l’ancien déporté vendéen trouve dans l’Apocalypse des clés pour déchiffrer l’absurde. Et, de nouveau, espérer…
Lu dans la presse
Consultez ici un article du journal Ouest-France relatif à la conférence donnée par Jean Artarit le 16 avril 2015 à Vouvant.